Les fleurs se fanent au passage de ces nains de meutes…
Leur berline, noire de désespoir, blindée d’esprits pauvres, font crisser leur haine sur ces bitumes d’âmes en peine…
ils n’ont plus que leurs costumes pour se tenir debout et nos mœurs s’adoucissent
quand leurs mélodies pleurent des hymnes de blues
où les charmes s’écœurent et s’accordent par malheur.