Toi mon doux, tendre amant d’envolées
Tu étires tes solitudes jusqu’à mes arrivées…
Je te sens à ce moment tout ouï,
aimant à l’affût de mon cœur
Où sur ta cambrure assise,
Je chasse mes armures, bannis mes peurs
On se câline en arrière plan
Discrets timides mais si vrais pourtant
On s’est reconnu sans retenue
Partagé dans cet élan de vie
Qui me rappelle sans cesse
Qu’il est bon d’abuser de caresses
Au naturelle, là où les âmes se croisent
Et se jouent des fausses joies…
Tu m’es cher mon compagnon
Car tu me rappelles à ma tâche d’aimer
Sans limites
Et d’espérer l’instant où j’entends tes refrains de demain incertains…
On s’apaise d’amour et tout va bien mon héros…
Tel un étalon de conquête
Tu défies thanatos pour n’épouser que ma vie…là…où Éros envahit notre histoire d’une après midi, d’un matin, d’une envie
Je t’aime mon quadri et me hâte à sentir ton souffle qui m’éloigne du pire…
Je bade tes progrès tes prouesses
Mon beau, solide complice
A n’attendre que cette heure où je t’appelle
De ce blase dont je ne me lasse
RHAMSES !