Le cadre est brisé
Comme le glaire sur un pacte !
Les p’tiots sentent la pisse
Sous leurs godasses salies de promesses…
Ils n’ont plus que l’espoir de châtier !
Seuls dans ce tourbillon aux odeurs de fluz
Seuls face à la haine ils refusent la loose…
Ils n’ont que les règles du néant de leurs mentors menteurs aux langues déchirées
Ils crament leur être avec en moins ce tact
Et visent les hauteurs d’où les anges se hissent
Le prix de chaque claque est une chance pour chasser les démons qu’ils confessent
Tout est bon quand le vide se visse au purin d’un nanti
L’autre monde est là et tous s’oublient de honte aux clartés englouties
On mute à souhait vers des horizons de perdus déchus
Pire est bienfait dans ce monde inversé
Où Metaverse vole les réalités de vie.
On humilie l’équilibre pour trouver l’oxygène
A en dévier du sacré ce qui est ADN
Le moche est beau quand le riche est creux sale…
Les désirs se calquent aux dérives du diable pâle
Normal est de finir le taf et d’aimer ces baves de braves
Le temps devient roi dans cette donne nouvelle
Mais sera-t-il aidant pour ces piètres sots d’un lieu qui n’est plus ?
L’heure n’est plus à jacter mais à bénir les silences
Les pieux, fourches et autres s’aiguisent
Et cherchent les ombres des vivants qui s’épuisent
Le temps ne retient que les bruits du silence…parait que c’est écrit sur la porte des cieux !