J’ai parfois des temps de courage qui m’envahissent de vie

Et j’apprécie ces lieux de vibrations qui se jouent de mes envies

Tout se fige dans une pulsion dévorante…

Et une sensation d’abandon ultime

Me ramène à l’existence d’un être cher…toi !

Ma douce, ma tendre tu n’as qu’attisé les détours de mon cœur

Tes yeux colorent ma bouille de ces sourires insouciants…

Que c’est bon de te savoir là, aux portes de mes envolées secrètes

Et de mes souffles désireux de te combler d’élan…

Je succombe à tes distances qui fustigent  mes avancées dans ces moments sacrés

Et je n’espère que plus de temps  pour me libérer à tes sages intuitions

J’ai goûté les arômes de ta robe de chair

Et discerné tes saveurs d’un matin ou d’un soir mon ange

Tes postures soudaines me laissent sans voix

Dans un instant de charme immense

A la terrasse d’un café ou dans un désert de pierres,  je te reconnais défiante et intense

Car tu m’es précieuse au réveil et délicieuse au coucher

Amoureuse sans cesse et frémissante au toucher

Je te veux sans limites, là où les destins s’affolent de désirs

Devant ces espaces d’amours infinis.

Je te veux mienne comme mon cœur se donne à la vie

Et pour que cette beauté jaillisse des paradis d’amour,

Je n’ai que ce choix de te rêver … toi.