De cette émotion du vide,
De nos ivresses déroutées,
De ces invisibles puissances
D’où jaillit notre histoire issue d’un chaos
S’éternisent les sanglots des hommes
dans ce monde jamais rassasié de cris
Tout se creuse aux bordures de ces ruches de vies.
A ne laisser de temps qu’aux existences
Ce semblant d’un meilleur ailleurs,
Nos illusions de croyances
Tiraillent et raillent nos intuitions…
cette présence…
Si nécessaire aux miracles de voir…de croire…de vivre…
Où se respire un simple paradis
Ce balancé d’une harmonie
Où les humeurs de vies respectent
L’infini…
Le sablier désespère de nos raisons
Quand l’heure est à l’espoir
d’un effacé passé…nous laissant fort brisé…
on se meurt sur la terre dévastée…
Le chaos d’après aidera ces graines d’amour
A lier nos cœurs aux âmes sans contours
Pour bannir et dévorer nos “trop”
Et nous laisser glisser sans retenues…
A devenir otage du bon… du beau.