Tes collines sont des horizons d’espoir…
Elles se jouent des vallons
Où les miroirs reflètent des âmes
de doutes…
Toi, jeune prince au cœur pétri d’amour
Tes limites d’un soir,
déclarent ce sentiment des possibles en soi.
Tes appels se hissent sur des cimes
te rappelant tes lendemains,
Pour qu’au devant des lointains
tes défies s’amusent de tes passages vains.
Qu’il est juste de croire pour se voir
Un instant libre et vivant
Qu’il est vrai de vibrer au toucher de profondes passions
Qu’il est bon de braver l’heure des conscients
Quand l’horloge des temps s’étire
De tes voix angoissées
aux sommets d’une vision libérée…
Ton corps chante tes douleurs d’épreuves et se fond dans tes larges sagesses…
Celles qui regardent demain ton prochain…
Tes collines te rappellent alors
Qu’aux croisées des destins…les prochains matins te diront qu’il est bon d’être humain quand
Les cieux se mêlent à tes soupirs,
cet état où tes rêves n’ont plus d’espaces pour te fuir !…
Tout devient grand… présent …
tu t’es joué du temps pour aimer ton moi…
C’est ainsi qu’on est roi aux contrées des bonheur ..une fois…enfant de toujours…c’est toi…FARRAHA