L’époque est à l’heure du temps
Celui qui pose là et t’apprend …
Qu’à trop courir assoiffé de peine
Ton cœur s’étend de larmes,
verrouille tes charmes, cette âme
Pour inonder ce corps de haine
C’est la pause forcée,
tu es confiné, tel un con fini
Gaïa t’appelle à la raison juste
Ecoute ses pulsations
Elles vibrent en rythme
Ouvre ce buste
Aux cieux géants
Et laisse ce sang qui coule puissant
sur ton chemin de vie aimant. ..
Le choix n’est plus ton droit gringo
A arpenter les idées du toujours plus
Pour te gâter, te flatter et aduler l’ego
L’humiliation t’a révélée sacré minus
Rêve factice tant aimé jadis
S’est rompu au détours d’un virus divin
Où le vent, la brise rappelle cet instant
Qu’à trop bondir au devant du néant
L’oubli s’en nourri trop souvent …
Acrobate aux équilibres d’une ère passée
La chute est propice aux folies créatives
Celles qui s’inspire de vie, d’un pouls de lumière et de saines pensées
L’heure est nommée bonhomme
Glisse et dévale en ce corps qui ne fait qu’un
Calme ce cœur meurtri de certitudes
Laisse entrer la vérité qui se greffe au doute
Puisse déposé tes apparats en soute…
Plane aux confins de ta destinée
Et chérie ta chair pour ces enfants émus
Qui te supplient de les aimer sans retenue…
Ils ont l’espoir d’un livre,
la terre les souille d’amour
Naïfs mais vivants
Leurs mises dépassent l’inconscience
D’une société ivre, indécente des jours…
Que marchent, courent nos héritiers
Vers cet Eden bercé d’harmonie … la vie!