Nos maladresses ne sont que le reflet de nos profondes passions,
isolantes à nous interdire ce chemin qui nous aspire
à devenir celui qu’un rêve respire…

L’incertain nous gifle en dedans comme pour nous détourner,
imaginer que ce devoir d’espérance ne colle finalement qu’à nos aïeux, épuisantes certitudes qui font parfois mouiller nos yeux…

à briser nos cris de vie
cet intime moi… celui qui recèle
en chacun de nous
comme l’eau sacrée, ce feu d’aimer,
cette terre où les âmes se croisent
dans ces temps infinis, flous…

ces goûts de vérités illimitées
ces millions millièmes de fragments de cœur
qui bannissent les souffles d’envies pour n’essayer que la peur…

Qu’il est sot de s’affranchir
de ces réels possibles
quand les portes du ciel
ne s’ouvrent qu’à la fin de son destin…

La conscience d’un moment, peut alors libérer, laisser s’évaporer
nos démons
pour nous tirer vers ce terrestre paradis… là …ici…que c’est bon…
ce glas au son d’un rire ou d’un sourire
qui rappelle que l’on sait reconnaître
un éclat de magie qui devient mien..nous…
En bref…juste notre vie…
Ce tout !