On élabore nos belles intentions derrière nos devises certifiées…
Là où les experts glorifient de vaines thèses aux vérités absurdes et pourtant si prometteuses.
Cette tragique comédie des agitateurs de certitudes, encense ce peu de connaissance pour combler un trop vide censé nous approcher de nos semblables…les inutiles.
Que c’est bon de se sentir lointain parfois …
D’oser s’imaginer nomade enchaîné à nos passions d’un temps de liberté…
Que sont longs ces moments où l’on ressent cette trahison soudaine qui brise les ailes d’un espoir de vie…d’amour…
Comme c’est dommage et pourtant si vrai quand la vie te rappelle que rien est acquis sauf le souffle passé il y a 1 seconde peut être de trop.
Je n’oublie pas que les ailes m’ont brûlé dans cette existence et qu’il est bon de se prémunir des feux de tempêtes d’où il est très difficile de s’extirper.
Mon apprentissage est encore long très long pour élucider tous les mystères des équilibres…
Je ne suis pas encore sur cette balance des apaisés hélas…et pourtant que de chemins parcourus déjà.
Il est de bon ton d’espérer…
Et pourtant j’aurais tout envie de me laisser partir vers cet enclos des résignés aux cœurs meurtris…
La désolation des grands lucides.